Vidéo : #Nobra, pourquoi j’ai arrêté les soutiens-gorge

Vidéo : #Nobra, pourquoi j’ai arrêté les soutiens-gorge

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Par Anouck Renaud

Publié le

"Depuis 4 ans, ils sont plus ronds, plus fermes et ils ont à peine grossi"

Gala est blogueuse et autrice. Il y a quatre ans, elle a décidé d’arrêter les soutiens-gorge.

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Pendant des années pourtant, Gala en portait tous les jours, voire même parfois pour dormir : “j’adorais la belle lingerie je dépensais une fortune dedans, et même si ma cage thoracique était comprimée, je m’en accommodais”.

Après avoir vu une vidéo parlant d’un nouveau mouvement, le “no-bra”, elle a un vrai déclic. Progressivement, elle troque ses soutiens-gorge à armatures pour des brassières de sport avant de définitivement tout arrêter. Bien sûr, elle s’interroge, elle a même peur que sa poitrine se mette à tomber. Mais les semaines passent, ses maux de dos disparaissent, sa poitrine semble plus ferme, elle remonte même. Le temps d’adaptation passé, Gala ne voit donc plus que des avantages.

Après avoir publié un article sur sa démarche dans son blog, elle reçoit de nombreux témoignages : “toutes les personnes, même celles qui ont une poitrine opulente, du E, du F, n’ont elles aussi plus mal au dos depuis leur arrêt du soutien-gorge”.

Malgré de très nombreux témoignages qui vantent les effets positifs du “no-bra”, très peu d’études se sont penchées sur les effets de la lingerie sur le corps des femmes. Une des plus connue est celle du docteur Jean-Denis Rouillon, qui a étudié 300 femmes pendant 15 ans. Il l’assure : “le mamelon des seins remonte en moyenne de sept millimètres en un an, par rapport à l’épaule, les seins se raffermissent et les vergetures s’estompent”.

L’article “NO BRA : “pourquoi je ne porte plus de soutien-gorge” écrit par Gala’s blog est disponible ici.
Retrouvez-la sur sa page Facebook et sur son compte Instagram.